Avec un nombre croissant de terrains de golf adoptant GEPS en remplacement des systèmes de drainage, nous recevons des observations précieuses de greenskeepers.

GEPS permet notamment de rationaliser leur travail. M. Thomas Olivier, le greenskeeper du Golf de Rougemont-le-Château, près de Mulhouse en France, a ainsi méticuleusement collecté des données pendant deux ans pour en évaluer l’impact sur ses activités et les économies réalisées.

M. Olivier nous avait déjà fait part de ses premières observations. Il les a depuis lors classées en quatre catégories :

  • Utilisation de l’eau.
  • Utilisation d’intrants.
  • Opérations mécaniques de décompactage et d’aération.
  • Opérations de sablage.

Les résultats sont impressionnants :

  • L’irrigation a été réduite de 50 %.
  • L’utilisation d’intrants a diminué de 30 %.
  • Les opérations mécaniques ne sont plus nécessaires.
  • Les opérations de sablage ne sont plus nécessaires.

Pour le Golf de Rougemont, cela se traduit par une économie annuelle d’environ 4 500 euros par hectare.

Ces résultats sont le produit du système GEPS qui redistribue l’humidité dans les sols, favorisant l’absorption des eaux pluviales pendant les précipitations et conservant un niveau d’humidité optimal dans la couche arable pendant les périodes sèches.